O capitao-do-mato

SOMMAIRE Le présent travail se "référa au capitao-do-roato" L'activité spécifique de ce personnage fut captursr les esclaves fugitifs, moyennant une somme pré-deterrainée. Les capitâes-do-roato, au commencement de la colonisation du Brésil, agissaient pour compte propre ou par ordre...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Baldo, Mário
Other Authors: Universidade Federal do Paraná. Setor de Ciencias Humanas, Letras e Artes. Programa de Pós-Graduaçao em História
Format: Others
Language:Portuguese
Published: 2012
Subjects:
Online Access:http://hdl.handle.net/1884/27033
Description
Summary:SOMMAIRE Le présent travail se "référa au capitao-do-roato" L'activité spécifique de ce personnage fut captursr les esclaves fugitifs, moyennant une somme pré-deterrainée. Les capitâes-do-roato, au commencement de la colonisation du Brésil, agissaient pour compte propre ou par ordre des senhores de engenho, car il n'y avait pas de regiementation officielle pour part de la Couronne portugaise! ii et, par conséquent, des autorités colonialleSj qui autorisaient l'exercice de la profession. Avec l'accroissement du numéro d'esclaves, les fuites et les abus, apparaissent des Regimentos, qui vont réglementer l'exercice de l'activité de ce chasseur de captifs fugitifs ou de nègres groupés en quilombos. La tentative est montrer les aos pects généraux des diverses formes de surveillance qui ont agi au Brésil de 1650 à 1823 et, en suite, montrer comme le capitão-do-mato apparu officiellement dans le scénario brésilien,ayant comme contexte le système esclavagiste. On tente aussi montrer dans quelle mesure le capitãp- rio-mato fut instrument de répression et, jusqu'à quel point son agissement fut significatif. Ceci dit, il se fait nécessaire de répondre aux s questions: quels appelatifs usés pour designer le capitãodo- mato? Quels étaient les individus qui se prêtaient à ce service? Comment, où e pour qui il agissait? A partir de ces enquêtes, on est arrivé au résultat qui se suit. (Traduit par Maria Antonieta C. P. Eduardo)