"Noa-Noa Séjour à Tahiti"de Paul GauguinTraduction Chinoise et Commentaire

碩士 === 輔仁大學 === 法國語文學系 === 94 === 法文摘要 Ce mémoire comprend six parties : une introduction générale et méthodologique, une présentation de Paul Gauguin, de ses chefs-d’oeuvres et de sa technique de peintre, une présentation de la théorie de la traduction, un ensemble de textes traduits, une présentat...

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Bibliographic Details
Main Authors: Vivianne, 張彣卉
Other Authors: Prof. HA Kim-Lan
Format: Others
Language:zh-TW
Online Access:http://ndltd.ncl.edu.tw/handle/51658108885714858715
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description 碩士 === 輔仁大學 === 法國語文學系 === 94 === 法文摘要 Ce mémoire comprend six parties : une introduction générale et méthodologique, une présentation de Paul Gauguin, de ses chefs-d’oeuvres et de sa technique de peintre, une présentation de la théorie de la traduction, un ensemble de textes traduits, une présentation des problèmes rencontrées, et enfin une conclusion. Ce mémoire porte sur la traduction chinoise du manuscrit Noa-Noa-séjour à Tahiti, écrit par Paul Gauguin. Il comporte aussi une partie de commentaires. Outre ma volonté personnelle d’en savoir plus sur ce domaine, mon mémoire exprime d’abord mon désir de m’adresser aux débutants, à ceux qui ont envie de connaître Paul Gauguin. De m’adresser ensuite aux spécialistes en leur proposant la théorie herméneutique. De m’adresser enfin aux traducteurs qui pourront consulter le texte traduit, et le commentaire basé sur l’herméneutique. J’espère que ce mémoire encouragera les apprenants à approfondir leur intérêt et qu’il approfondira ma propre connaissance en ce domaine. Récit de voyage, témoignage de la vie de Gauguin pendant son premier séjour à Tahiti, commentaire de ses tableaux, le manuscrit Noa-Noa occupe une place singulière dans l’oeuvre de l’artiste. Son histoire mouvementée, de sa genèse à sa publication, retrace les épisodes d’une aventure rocambolesque et passionnelle. C’est la raison pour laquelle nous avons choisi ce livre. Le chapitre trois est consacré aux trois principes de Schleiermacher. En premier lieu, pour Schleiermacher, on ne traduit que des discours, c’est-à-dire de la pensée : celui qui parle où écrit doit apporter quelque chose à la langue, ce qui interdit la simple répétition. En seconde lieu, pour traduire les discours formés à partir de la libre combinaison subjective, qui sont les objets de la traduction, Schleiermacher écarte la paraphrase qui pense pouvoir surmonter l’irrationalité des langues. En dernier lieu dans un autre sens aussi, traduire n’est pas comprendre, et Schleiermacher le sait : il n’est pas impossible de traduire ce qu’on ne comprend pas en rendant pour une large part l’indétermination première. Traduire, Schleiermacher le souligne avec force, trouve alors une place de choix dans le devenir de l’esprit et cela explique l’intense activité de traduction dont la science, la littérature et plus particulièrement la poésie font l’objet, surtout lorsqu’il s’agit des « grands auteurs ». A travers la théorie de l’herméneutique, j’ai proposé un commentaire de la traduction chinoise du chapitre cinq. Ce commentaire comprend cinq parties : la première consiste en l’analyse de phrases. J’en ai discuté par le sujet, l’objet, le nom et l’adjectif. Puis, la seconde partie a été consacrée aux expressions différentes entre deux langues, y compris des proverbes et des locutions. La troisième partie présente les sens multiples des mots courants. En traduisant le texte, j’ai souvent rencontré ces difficultés de choix du sens. En ce qui concerne la quatrième partie, j’ai mis l’accent sur l’interjection et les auxiliaires. Du fait que ce manuscrit décrit le séjour de Gauguin a Tahiti, j’ai pu remarquer beaucoup d’expressions orales locales. En chinois nous avons l’habitude d’utiliser des auxiliaires à la fin des phrases orales. Mais en français, à part les auxiliaires, nous utilisons aussi des constructions différentes de phrases. Pour la cinquième partie, j’ai discuté sur les noms propres à Tahiti. Essayant de les traduire en chinois, j’ai suivi la méthode principale de la prononciation à Tahiti, afin de faire une traduction correcte. L’enjeu de l’acte de traduire se situe au niveau de la pensée en général et de son rapport avec le réel, ce qui engage une conception du sens. En effet, on saisit vite que si la traduction comme adéquation parfaite entre deux langues est impossible, on risque de perdre le rapport à la pensée de l’auteur et à l’original. En espérant que ce mémoire se sera attaché à susciter l’intérêt des lecteurs, j’ai tâché de présenter des exemples représentatifs de la façon la plus simple et la plus claire possible, avec l’objectif que chacun découvre le monde de la traduction d’un œil nouveau.
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